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Pourquoi le changement fait-il peur?

  • Photo du rédacteur: Audrey TOUBOUL
    Audrey TOUBOUL
  • 15 mai
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 17 mai

— et comment y faire face avec le MTAC*


Changer de vie, de métier, de pays, de rythme ou même simplement de posture intérieure : ces décisions peuvent paraître simples en apparence, surtout lorsqu’elles viennent d’un réel désir. Pourtant, dans les faits, une résistance se met en place. Une inertie invisible, parfois violente, qui freine l’élan.


La peur est rationnelle, pourtant elle ne se contrôle pas

On croit souvent qu’il suffit de le vouloir pour y arriver. Mais le changement ne se décide pas uniquement avec la tête. Il implique tout notre système intérieur, mental, émotionnel et corporel. Et c’est justement cette profondeur qui peut provoquer un blocage.


La peur du changement n’est pas irrationnelle : elle est inscrite dans notre structure de survie. Tout ce qui nous éloigne de nos repères est perçu, inconsciemment, comme une forme de danger.



Le mental s’emballe alors. Il anticipe le pire, multiplie les pensées négatives, construit des scénarios-catastrophes. L’anxiété s’installe, parfois de manière diffuse. Les ruminations prennent le dessus, accompagnées d’un sentiment de confusion, d’impuissance ou d’instabilité. Il devient difficile de prendre une décision claire, ou même de savoir ce que l’on veut vraiment.


Et quand le mental est saturé, c’est le corps qui prend le relais. Fatigue, tensions musculaires, insomnies, douleurs digestives ou cutanées : ce ne sont pas des coïncidences. Le corps exprime ce que l’on ne parvient pas à mettre en mots. Il signale que quelque chose résiste en profondeur, et que l’équilibre est menacé.


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Ce que la Méthode de Transformation Active et Consciente* peut faire


Dans ce contexte, le MTAC offre un cadre structuré pour comprendre ce qui se joue.

La première étape consiste à reconnaître ce qui est activé, à identifier la peur derrière la peur. Est-ce un attachement ancien, une mémoire transmise, un conflit intérieur ? Cette mise en lumière permet déjà un premier déplacement.

Ensuite vient la traversée : c’est-à-dire rester présent à ce qui remue, et comprendre, sans chercher à l’éviter ou à le contrôler. C’est une étape inconfortable, mais nécessaire.

Enfin, la transformation se fait naturellement, une fois la tension relâchée. Ce n’est pas un changement forcé : c’est une nouvelle énergie qui circule, plus fluide, plus alignée.


Un soin énergétique, des mots, des visualisations viennent en soutien au corps et au mental afin d’intégrer pleinement cette transformation.


Changer, ce n’est pas se forcer à aller mieux. C’est comprendre ce qui freine, l’accueillir, puis s’autoriser à avancer. Quand on est accompagné, et qu’on comprend le lien entre le corps, le mental et ce qui se rejoue inconsciemment, le changement devient possible. Et souvent, plus simple qu’on l’imaginait…

 
 
 

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